Anas était un enfant qui n’avait pas encore eu un an. Il est né le 7 octobre, le jour où la guerre de Gaza a commencé, un jour où la ville était remplie de roquettes et d’explosions. L’atmosphère était remplie de peur et de destruction, mais il était le nouveau-né qui est venu au monde à un moment si difficile, apportant de l’espoir à une famille qui vivait dans des difficultés.

Le père d’Anas aimait profondément sa famille, mais le jour de la naissance d’Anas, la guerre avait déjà commencé à Gaza. Le père d’Anas s’est perdu au cours de la guerre et il n’a jamais eu la chance de voir son fils, qu’il rêvait depuis longtemps de rencontrer.

Dans ces moments difficiles, son père a perdu la vie dans l’une des attaques. Même si Anas est né dans le chaos et la destruction, il n’a jamais eu l’occasion de rencontrer son père, car celui-ci est décédé avant de le mettre au monde.

Les jours passaient et la mère d’Anas vivait dans un profond chagrin, mais son cœur était toujours rempli d’espoir. Anas pleurait dans ses bras, et à chaque fois, elle lui chuchotait à l’oreille, lui parlant de la bravoure et de l’amour profond de son père pour eux. Elle lui a promis qu’il serait fier de son père quand il serait plus grand et qu’il comprendrait à quel point son père était un héros.

Malgré son jeune âge, Anas vit avec les souvenirs de sa mère de son père en vieillissant, il comprendrait que l’espoir et la résilience venaient du cœur de son père, qui a sacrifié sa vie pour le pays et la famille.

Aujourd’hui, à l’âge d’un an, Anas passe ses journées dans les bras de sa mère, qui lui inculque l’amour de la vie et l’espoir, malgré une perte incurable.